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Plus d’un an après le décès de Blanche Tunasi, la famille Kandolo, branche paternelle, sort du silence et exprime de sérieux doutes sur les circonstances entourant cette disparition jugée “trouble”.
Dans un communiqué rendu public, la famille affirme avoir volontairement observé un silence médiatique depuis la mort de leur fille afin de rassembler des éléments. Ce temps d’observation, expliquent-ils, leur permet aujourd’hui d’exprimer publiquement leurs inquiétudes quant aux conditions dans lesquelles Blanche a perdu la vie.
« Le silence médiatique et scrutateur que nous avons gardé depuis la mort de Blanche nous a permis de réunir des éléments qui poussent notre famille à émettre un doute sérieux sur les circonstances réelles de sa mort », peut-on lire dans le communiqué.
Selon cette déclaration, la famille aurait appris le décès “de manière soudaine sur internet, comme tout le monde”, sans avoir été informée au préalable. Elle déplore également un rapatriement “expéditif” du corps, sans qu’elle n’ait pu procéder à un examen pour s’assurer des causes du décès.
« Le refus catégorique de nous laisser examiner le corps de notre regrettée », dénoncent les proches, évoquant en plus “des funérailles précipitées” et une “absence de clarté sur la chronologie des faits”.
Par ailleurs, la famille Kandolo accuse directement Monsieur Marcello Tunasi, mari de la défunte, de contradictions dans ses déclarations. Elle conteste fermement la version qu’il a présentée, la qualifiant de “mensongère” et en décalage avec ses premiers propos lors des rencontres organisées durant le deuil.
« La famille réfute une fois de plus la version contradictoire et mensongère de Monsieur Marcello », insiste le communiqué.
En plus de ces griefs, les Kandolo regrettent certaines déclarations de M. Marcello sur le futur du patrimoine laissé par la défunte. Ils dénoncent un ton jugé déplacé au regard du contexte émotionnel.
La famille dit se réserver le droit de saisir les instances compétentes pour que “toute la lumière soit faite” sur cette affaire.
Elie Ngandu
