La Cour de cassation a refusé ce mercredi 5 août, la demande de mise en liberté provisoire introduite par Vital Kamerhe, Directeur de cabinet du chef de l’Etat congolais, Félix Tshisekedi. Cette demande lui a été refusée plusieurs fois en première instance, puis une fois en appel.
La Cour de cassation était pour Vital Kamerhe, la dernière chance d’obtenir la liberté provisoire. Mais la haute instance judiciaire a rejeté cette demande. Ce qui enterre définitivement les espoirs du leader de l’UNC de recouvrer une liberté provisoire.
Dès lors, son dernier espoir reste un acquittement à la Cour d’appel de la Gombe où son procès se poursuit ce vendredi 7 août en deuxième instance.
En première instance, Vital Kamerhe a été condamné à vingt ans de travaux forcés pour détournement des fonds publics destinés à l’acquistion des maisons préfabriquées dans le cadre du programme d’urgence des cent jours du président de la République. La même peine a été infligée à l’homme d’affaires libanais Samih Jammal, patron de la société Samibo qui exécutait ces travaux des maisons préfabriquées.
SN