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Contrôle parlementaire : Ministre Clement Kwete Kwete à nouveau devant la commission environnement, tourisme et ressources naturelles

Les élus du peuple ont appuyé sur l’accélérateur en ce qui concerne le contrôle parlementaire. Mardi dernier, la commission environnement, tourisme et ressources naturelles a auditionné M. Clément Kwete, ministre du portefeuille.

Après avoir été entendu, il a promis de revenir ce jeudi 21 mai répondre aux questions qui lui ont été posées par les députés membres de ladite commission en rapport avec son secteur.

” Nous avons été satisfait par les explications de Monsieur le ministre du portefeuille. Mais, être satisfait ne signifie pas que tout va bien. Il nous a expliqué la situation dans laquelle de trouve les entreprises et il y a des problèmes. Nous avons fait des recommandations pour que ces sociétés qui étaient les fleurons de notre économie et qui ont géré l’État en tant que tel et les provinces pendant des années reçoivent l’aide de l’État pour survivre, a laissé entendre le Député François Nzekuye, vice-président de la commission .

Et de rajouter : “quand vous regardez la MIBA au centre du pays, la Somiki à l’Est et la Somikivu ou la Gecamines ou la sodemico, ce sont des entreprises qui ont aidé des plusieurs générations à vivre. L’État doit les prendre en charge pour que ces entreprises puissent revivre” .

Il faut sauver ces entreprises publiques

La commission a demandé également au Gouvernement de faire en sorte que ces entreprises qui ont des créances vis-à-vis des tiers de le recouvrer le plus vite possible. “En même temps, nous avons demandé au ministre du portefeuille de faire en sorte que ces entreprises qui ont des créances vis-à-vis des tiers de le recouvrer le plus vite possible.

C’est le cas de la Gecamines vis-à-vis de KCC. À qui, KCC doit plus de 250 millions USD aujourd’hui. Il faut absolument que le ministre puisse s’impliquer pour les retrouver. La SOKIMO a plusieurs partenaires qui lui doivent de l’argent.

Ainsi, il faut que cet argent entre dans les caisses de ces entreprises pour qu’elle vivent. La Gecamines si elle n’est pas payée aujourd’hui, elle va arrêter la production. Elle ne saura pas payer son personnel. De ce fait, nous estimons que c’est une urgence nationale qu’il faut pouvoir régler”, a-t-il recommandé.

Don Boss

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